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While you're alive, nothing is impossible • Maureen
Maureen Skyhold Illegals
Maureen Skyhold
Disponible pour RP : 2/2
Double(s) compte(s) : No.
Âge du perso : 24 ans.
Pouvoir : Aucun.
Messages : 20
Sam 28 Mai - 14:08
Maureen SKYHOLD
alias "La terreur"

IllegalsHumaineInventé



Identité

Âge24 ans
Date de naissance 16 Mai 1998.
Occupation Apprentie fleuriste (si si c'est pas une blague).
Avatar Navier - the Remarried Empress



Votre opinion sur
Les Supers + centres Rosalia.
Pourris, tous jusqu'à la moëlle. S'ils étaient vraiment un levier fiable pour que le monde aille mieux, il n'y aurait pas tant de choses horribles qui se passent chaque jour. Supers, ça rime avec cancer. Maureen n'a besoin de rien de plus pour les détester.
Albion Des beaux tarés, eux-aussi. A leur façon. Au moins ils assument. Mais ça ne les rend pas plus appréciables aux yeux de Maureen malgré tout.
Villains Ils cassent tout sans vergogne et sans songer au mal qu'ils font. Ils ne valent pas mieux que les autres.
Illegals Wah, des gens qui veulent réguler les choses à leur façon sans pour autant faire partie d'une des trois factions citées plus haut. Tous des imbéciles.



I miss myself.

De caractère

VLC Media player tourne dans le vide en attendant l'extraction et la lecture du premier fichier de cette clé USB.

"[...] Ce n'est pas que Maureen est quelqu'un de méchant, au contraire. Tu verras, quand tu sais comment agir avec elle, elle peut même se révéler d'une douceur que l'on ne lui aurait pas prêter de prime abord.

C'est juste que cette pauvre fille - pardon, je sais que je vire un peu paternaliste avec elle mais c'est juste qu'elle n'a pas un bagage facile à porter - n'a pas été épargnée par la vie. Attention, pas d'histoire sordide à tous les chapitres, non. Mais ça reste pas simple pour une personne sans repère comme elle l'est désormais.

Elle te dira avec fierté qu'elle n'a pas besoin d'être protéger. Quelque part, c'est vrai. Mais se faisant, elle ne veut pas toujours reconnaître qu''elle se met en danger. Elle a un vrai tempérament de tête brûlée et si ça peut lui sauver la mises dans certaines situations, ce n'est pas toujours le cas. J'espère qu'avec le temps, elle se calmera.

En vérité, je pense surtout qu'elle a besoin de se construire avec des gens qui ne lui planteront pas de couteaux dans le dos à la première occasion et qui l'aideront là où j'ai échoué à le faire. A ce moment là, peut-être qu'elle assumera ses propres faiblesses pour les embrasser, les embraser et les guérir.

C'est tout ce que je lui souhaite, vraiment.

J'en ai vu des jeunes mal dans leurs peaux dans ma carrière, mais Maureen est celle qui m'a le plus marqué. Je ne saurais pas dire pourquoi, c'est juste comme ça.

Si tu peux lui venir en aide, Haruto, je t'en serais reconnaissant. [...]"

Énervée Perdue Méfiante Incisive Marginale Fort caractère


Anecdotes/histoire

Maureen se sent souvent plus à l'aise avec les animaux que les humains, la faute à une carence de confiance récurrente ;; Elle ne veut pas le reconnaître mais elle est au bord de la dépression et ce qui la retient, c'est simplement son caractère un peu trop enflammé par moment ;; Faire confiance, elle ne sait plus faire, il faut qu'elle réapprenne même si elle n'en voit pas l’intérêt ;; 1m70 pour 61 kg ;; Adore les pistaches ;; Déteste les fruits de mer ;; Allergie aux fraises ;; A la tendance a mordiller ses lèvres lorsqu'elle est anxieuse ou en colère ;; Quelques tatouages runiques sur son corps ;; On a tenté de la former au métier d'infirmière et elle se débrouillait plutôt bien - dommage qu'elle ait fait le choix de ne pas continuer, du coup ;; Personnage évolutif selon ses rencontres.



Ce matin-là, c'est un acharnement sur la sonnette de son appartement qui tira Haruto Watanabe de son sommeil de mauvaise qualité. L'homme, contrarié, se tira malgré tout de son lit pour aller voir qui osait le réveiller à... Oh, quatorze heures passées, ok. Bon, pour cette fois il ne jetterai pas de regard - trop - noire à la personne coupable de tout ça. Enfin, il essayerait.

Il s'avère que c'est un jeune garçon à la tignasse rousse dépassant de sa casquette de livreur qu'il a en face de lui. Il ne comprend pas tout mais dans les grande ligne, le jeunot - qui doit être étudiant mal payé à ses heures perdues - lui dit qu'on lui a envoyé un petit colis par coursier express.

Bon, Haruto n'attendait rien de personne, mais soit.

Il remercie le coursier et referme la porte de son appartement avant d'aller démarrer son ordinateur. En attendant que l'écran d'accueil s'affiche, il lance  sa cafetière et déjà, l'odeur de sa boisson chaude préférée emplissant son salon apaise un peu le mal de crâne qui lui vrille les tempes.

Ses doigts viennent ouvrir à moitié les stores et la lumière naturelle qui filtre maintenant au travers le fait râler. Enfin, il s’empare d'un petit canif depuis un tiroir ouvert de sa commode et entreprend de décaniller le petit paquet qu'on lui a livré. Il reste quand même sur ses gardes lorsqu'il voit une clé USB s'échapper de son plastique de sécurité, le tout accompagné d'un petit mot.

Haruto déplie la note manuscrite et se détend un peu.

Tiens, ça vient de Devon, un ami qu'il s'est fait au sein de la police Canadienne il y a quelques années maintenant. C'est bizarre, Devon n'envoie jamais de coursier et prévient toujours lorsqu'il a besoin de quelque chose. Cette fois, il doit y avoir un problème que le policier ne peut pas régler lui-même.

La méfiance laisse place à la curiosité.

Lorsqu'il insère la clé USB dans le port de son ordinateur, Haruto y découvre plusieurs photographies d'une jeune femme - wouah, elle tire une de ces tronches se dit-il - mais aussi des fichiers d'identité et deux vidéos. La miniatures montre le visage de Devon parlant face caméra.

Haruto va se servir une bonne tasse de café et vient se rassoir devant l'écran pour lancer le visionnage.

"Salut Haruto, ça fait un bail, pas vrai ? J'aurais préféré venir te voir en personne ou te passer un coup de fil mais j'avais besoin que les choses soient faites discrètement.

J'irais droit au but, j'ai besoin de toi pour aider une jeune fille qui n'a pas eu beaucoup de chance jusque là. Je t'explique et je vais être bref pour éviter de t'endormir.

Elle s’appelle Maureen Skyhold. Je la connais depuis quelques années maintenant. A l'époque je venais tout juste de commencer en tant que policier dans la ville de Regina et j'avais déjà perdu un coéquipiers dans une intervention qui a mal tournée. La psy' de notre comico m'avait fait démarrer une série de petits journaux, un peu comme des journaux intimes pour y mettre tout ce qui me passait par la tête. Soi-disant ce devait être un bon tremplin pour faire le deuil d'Anthony. Mais bref. Ce soir-là je profitais d'une accalmie pour écrire un peu dans ce carnet-là quand une femme est entrée dans le batîment accompagnée d'un gosse mal fagoté. Enfin, ça, c'est ce que je pensais au départ.

En réalité c'était une toute jeune fille qui avait l'air d'avoir à peine dix ans et qui n'avait rien sur le dos à part un t-shirt troué, un pantalon trop large pour elle - troué aussi - et une paire de chaussettes - devines quoi, elles étaient trouées aussi. La dame lui avait donné son manteau qui trainait depuis ses menues épaules jusque sur le sol et nous expliqua l'avoir trouvée dans le parc proche - Kiwanis Waterfall Park pour être précis. Pas de parents, mutique, c'était à se demander comment elle était arrivée là.

On a appelé une ambulance et les secours sont venues la chercher. On espérait qu'ils arriveraient à lui tirer plus d'info' parce que nous, ça n'avait rien donné.

Surprise lorsque je suis allé voir les médecins qui s'occupaient d'elle à l’hôpital, elle n'avait pas dix ans mais douze. Simplement, elle était sous-nutrie et ce depuis quelques années maintenant. C'était bizarre car rien dans notre base de données ne matchait avec ce qu'elle avait dit au personnel soignant. Ils l'ont retapés et confiée à l'United Way of Regina, une sorte d’orphelinat associatif, historie qu'elle ne retourne pas à la rue. On ne savait pas vraiment d'où elle sortait et ça, c'était perturbant. Ok, Regina est une grande ville, mais quand même faut pas abuser. Un enfant si jeune tout seul, ça se remarque.

Au final ça ne nous aura pas pris plus de quelques heures par la suite pour établir un lien avec elle puisqu'une autre femme qui lui ressemblait pas mal s'est présentée ensuite au commissariat pour signaler la disparition de sa fille mineure.

Mais bref, il s'agissait de Veronica Skyhold, une marginale de quarante ans au moment des faits. Elle n'était pas méchante, mais elle était connue pour être très pauvre, habituée à vivre en marge de la société. On a pas voulu croire qu'elle et Maureen avait un lien de près ou de loin et pourtant... Même cheveux blonds, même yeux clairs... Par acquis de conscience on a quand même demandé un test ADN.

Bingo. Veronica était la mère de Maureen.

Personne ne connaissait le père mais les pistes suggèrent qu'il s'agit d'un marginal, comme Veronica. Après, même quand on lui à posé la question à elle, elle n'a pas su nous répondre. Par honte ou pas véritable oubli ? Franchement je n'en sais rien et je m'en fiche.

Maureen s'est vu placée à l'association qui gérait l'orphelinat de Regina. On savait maintenant qu'elle avait quitté elle-même l'appartement où sa mère s'était réfugiée avec elle lorsqu'elle avait commencé à avoir faim, tout simplement. Au moins maintenant elle était prise en charge.

Je pensais que la vie commençait à sourire à cette petite mais si elle l'a fait, ce n'était pas avec un genre de rictus auquel je m'attendais.

On nous a ramené Maureen cinq fois en une année après son placement, pour commencer. Mademoiselle volait dans les rayons des magasins et s'était rendue coupable de morsure sur la main d'une vendeuse qui avait essayé de lui reprendre son butin. Elle n'était pas cleptomane pour autant, elle voulait simplement avoir tout, tout de suite.

On a essayé de la calmer, de l'apaiser mais plus les années passaient et moins elle était réceptive aux petits sermons qu'on pouvait lui faire. Pire encore, en l'espace de trois ans, Maureen avait été adoptée sept fois et à chaque fois, elle était ramenée à l'association. Aucune famille ne parvenait à la canaliser et ses sautes d'humeurs en effrayaient plus d'un.

Au collège et au lycée, elle arrivait à se maintenir dans la moyenne mais ça, je pense que c'était pour faire plaisir à son éducatrice, Lauren Kepper. Je ne sais pas comment s'y est pris cette femme mais elle était parvenue à créer un lien fort avec Maureen. C'était souvent par elle que nous devions passer nos messages si on voulait être un tant soit peu entendus.

A seize ans, Maureen débutait même une formation d'infirmière et semblait se plaire dans ce boulot en apprentissage. Ça ne l'empêchait pas d'avoir encore des travers qui la ramenait souvent derrière mon bureau, mais bon, on essayait de se dire que c'était un mal pour un bien. Elle avait peut-être juste besoin de destresser, après tout.

On a bien essayé de la remettre en contact avec Veronica mais cela ne semblait pas l'intéresser plus que ça. Du coup, je n'ai pas forcé, personnellement. Elle avait le droit de ne pas avoir d'affinité avec celle qui l'avait mis au monde après tout.

Un jour, j'ai fini par ne plus du tout entendre parler d'elle et pendant bien trois ans elle n'a plus mis un pied dans le commissariat. Je me suis dit, naïvement, qu'elle avait enfin trouvé un équilibre dans sa vie et qu'elle n'avait plus besoin de défier l'autorité pour se sentir exister ou quelque chose du genre.

Je te dis pas la douche froide lorsque je l'ai revu dans la rue avec d'autres junkies de son âge. Depuis la dernière fois que je l'avais vu elle était devenue légalement adulte, portait des tatouages et semblait plus impétueuse que jamais. Pourtant elle n'a pas essayé de me sauter à la gorge lorsque j'ai essayé de lui parler. Elle m'a juste dit qu'elle avait lâché ses études et l'association, que maintenant elle vivait avec son mec et ses nouveaux amis. Qu'elle était heureuse comme ça. Je sentais qu'elle ne mentait pas, elle était vraiment bien avec eux. Mais ce n'est pas une vie pour une jeune fille de dix neuf ans. J'étais dégouté. Là, je me suis dit que j'aurais du m'inquiéter davantage pour elle, prendre de ses nouvelles à l’hôpital et tout le reste. J'en ai rien fait et voilà le résultat. Bravo Devon, bien joué.

Je savais que si j'essayais de l'emmener de force dans ma voiture, ça ne ferait qu'empirer les choses. Or, je voulais garder un contact plus ou moins de confiance avec Maureen pour la faire sortir de cet enfer dans lequel elle s'était engluée toute seule.

J'ai appris peu de temps après que Lauren Kepper avait perdu la vie dans un tragique événement ayant mêlé Supers et Villains dans un affrontement qui a fait quelques dommages collatéraux. Dont Lauren Kepper. Ça expliquait pas mal de choses. Avec la perte de son phare, Maureen avait surement estimé que la vie ne valait d'être vécue qu'avec des personnes qu'on aime, sans obligations. Je pouvais comprendre sa logique mais il fallait qu'elle sorte de là malgré tout. Elle et les autres jeunes d'ailleurs. Ça me révulsait déjà à l'époque que des gamins comme eux puissent se pourrir la santé et la vie à fumer toutes sortes de substances alors que le gouvernement pourrait faire quelque chose pour eux. Mais non, ils faisaient partie des laisser pour compte.

Je me suis dit que je serais celui qui ne les laisserait pas tomber. J'avais simplement surestimé mes propres capacités. Parfois, Maureen et son petit groupe disparaissait pendant des semaines, voire des mois avant de réapparaitre à Regina ou dans une autre ville. Heureusement que j'avais des contacts un peu partout dans les autres commissariat qui me prévenaient le plus souvent lorsqu'ils voyaient Maureen.

J'ai commencé à m'inquiéter lorsqu'on a fini par entendre parler de son petit groupe comme un gang armé qui tabassait ceux et celles qui n'étaient pas d'accord avec les principes de ce dernier sans remord ni distinction. Apparemment, le chef de ce groupe - le mec de Maureen, souviens toi - avait brusquement décidé de s'immerger dans un genre de guerre de pouvoir pour s'imposer. Il avait des facultés para-humaines, ce qui lui donnait un avantage considérable sur ses cibles. Maureen suivait. En même temps qui peut en vouloir ? Elle était amoureuse, rien de plus normal.

Sauf que le petit chef - Damian Meinhart, de mémoire - avait les yeux plus gros que le ventre. Il s'est mis à titiller des personnes à qui il valait mieux ne pas chercher de noises. Vraiment pas. Entre temps, j'ai découvert non sans horreur que Maureen était devenue maman d'un petit garçon. Elle avait vingt et un ans lorsqu'il est né mais au moins, elle, avait fait les démarches pour le signaler en mairie et tout le toutim. Ça ne rendait pas la situation plus acceptable mais au moins nous avions une traces du petit, au cas où.

Nous avons fait une descente dans la planque du gang de Damian début Avril et j'ai moi-même emmené Maureen menottée à l'arrière de ma caisse. Inutile de préciser qu'elle a essayer de défoncer la porte à coups de pieds vigoureux et qu'elle m'a insulté sur au moins douze générations le temps qu'on arrive au commissariat.

Là, je l'ai laissé se calmer d'épuisement dans une salle de dégrisement et j'ai attendu. J'ai bien fait. Parce que Damian est passé aux aveux tout de suite. On a même pas eu besoin de le cuisiner tellement il était flippé. Il savait qu'il était dans de sales draps. S'il retournait à l'extérieur, il se ferait massacrer par les personnes qu'il a trop provoqué, il le savait. Alors, il a tout balancé. Et surtout, il a essayé de faire porter le chapeau à ses acolytes et à Maureen.

Je suis aller la chercher et l'ai amené devant la vitre sans tain derrière laquelle Damian passait à table. J'ai surement été un peu brusque mais je crois que ce qui lui a fait le plus de mal, c'est d'entendre ce type pour qui elle aurait donné sa vie avoué à tout le monde, sans remord ni sursaut d'aucune sorte qu'il n'avait jamais aimé Maureen, qu'elle était juste "une distraction" pour lui et que de toute façon c'était elle qui voulait provoquer tout le monde, pas lui.

Maureen n'a même pas cherché à résister lorsque je l'ai emmené dans mon bureau. Là, je lui ai retiré ses menottes et j'ai cherché à la faire parler. Rien à faire, elle restait mutique. Elle me rappelait la gosse qu'elle était la première fois que je l'avais vu, des années auparavant. Sauf qu'elle avait bien grandit maintenant.

Je lui ai dit que je ne croyais pas à la déclaration de Damian et que je ferais mon possible pour la défendre. Mais il me fallait ses aveux aussi, des aveux écrits. Elle n'a rien dit mais elle a juste commencé à écrire frénétiquement sur la feuille que je lui avait tendu. Dans le silence de mon bureau, cassé seulement par le bruit du stylo sur le papier, j'ai cru pouvoir entendre son cœur se briser, encore. C'est dégueulasse ce que la vie peut réserver à des gens comme elle, qui n'ont rien demandé.

Finalement, avec les collègues ont à découvert que Damian avait vraiment contrarié de gros poissons, du genre qui ne faisaient pas de concessions. Sincèrement ? Je sais que je vais rompre mon serment de protéger et servir mais je m'en branle de ce qui peut arriver à Damian. D'autres le gère. Moi je veux protéger Maureen. Je sais que ces types seraient prêts à tout pour atteindre Damian, même à porter la main sur Maureen - sans savoir que ça ne lui ferait probablement ni chaud ni froid à cette enflure  - voir pire, sur le petit garçon.

Alors j'ai fais un deal avec elle. Elle acceptait mon aide et se faisait discrète pour un temps indéterminé histoire d'éviter que les chasseurs de son mec ne lui retombe dessus. En échange, je lui donnerais des nouvelles de son fils régulièrement. On ne peut pas se permettre de les laisser divaguer dans la nature ensemble pour l'instant. Je sais, c'est immonde ce que j'ai fais, de placer son fils dans une famille le temps que les choses se calment. J'en suis pas fier, Haruto, mais j'avais pas d'autres solutions. Au moins, comme ça, Maureen se tient tranquille. Et elle sait, au fond, que c'est la meilleure solution pour l'instant, pour elle comme pour lui.

Le problème, c'est que j'ai pas de solution pour la suite. C'est pour ça que je t'envoie tout ça. Je me suis dit que t'aurais une solution, peut-être et que - [...]"

Haruto arrête l'enregistrement et soupire. Devon lui serait redevable un moment, c'était sûr. Mais bon, il prit tout de même la peine de prendre son portable et de faire défiler la liste de ses contacts, jusqu'à trouver celui qui l'intéressait.

Son pouce presse le symbole d'appel et il vient coller l’appareil à son oreille.

Une tonalité.
Deux tonalités.
Trois tonalités.
Et finalement, une voix à l'autre bout.

"Allo, Astrid ? Tu te souviens de moi ?"

Il fallait bien trouver un échappatoire à cette gamine après tout.

Présentez-vous ?

Que dit une imprimante qui tombe à l'eau ? "Au secours, j'ai papier !"
Voilà.





Maureen Skyhold
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Invité Invité
Anonymous
Dim 29 Mai - 0:07
Bien joué !

Bienvenue !

Tu fais désormais officiellement partie des nôtres !
Maureen (pardonne-moi si je divague en tellement Momo, c'est une déformation personnelle) est un personnage évolutif fort intéressant, et j'ai hâte de la voir en contact avec des gens de milieu différents, pourquoi pas avec Albion, à vrai dire, même si elle a une piètre opinion de ces derniers (comment ça, j'essaie de vendre Albion à chaque message de validation ???)
Surtout avec Astrid à ses côtés, je suis persuadée qu'elle va réussir à s'en sortir, et qu'elles vont former toutes les deux un binôme de choc ! C'est donc bon pour moi !  While you're alive, nothing is impossible • Maureen 2609381015

Maintenant que ta fiche est validée, tu peux faire ta fiche de personnage et ta (future) chronologie des rps (lien), fabriquer ton téléphone pour qu'on puisse ta joindre en RP (lien).

Concernant le RP, tu peux d'ores et déjà faire une demande.

Bon jeu à toi !
Invité
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